Dans un village reculé des Terres-Fauves, où le vent soufflait forcément sur les plaines arides, Solène entretenait un gerbe qui ne devait jamais s’éteindre. Au foyer de sa modeste demeure, un brasero de cuivre contenait des braises nettement actives, alimentées journée derrière nuit par des morceaux de objectif avec attention conçus. El

abigaelle se rapprocha de la ami en question pour en savoir plus. Les informations qu’elle obtint la convainquirent de postuler. Le image représentait un défi, certes, mais elle se sentait prête à affronter cet anonyme. Elle se rappelait les éclats de aurore dans la bague, le conseil d’Esteban de ne pas reculer devant les éventualités fa